En 1965 à l’âge de 22 ans, , Michèle DESTARAC montre pour la première fois ses travaux sur papier à la Biennale Internationale au Musée d’Art moderne de la ville de Paris. En 1969, découverte par Jean Pollak , elle commence une longue expérience picturale avec la galerie Ariel de Paris en côtoyant des artistes du mouvement Cobra : Karel Appel, Asger Jorn, mais aussi Olivier Debré, Pierre Alechinsky ou Jacques Doucet. Elle expose pour la première fois chez lui en 1972.

« À ma première lecture de l’art de Destarac, j’ai été « ébahie » et « étourdie » comme certains titres de ses toiles. Très vite, à travers ces tracés énergiques noirs, blancs ou de couleur, j’étais prise dans un tourbillon de lignes, de taches et de tracés, puis sont apparus en songe : l’ordre/désordre des lances rouges et blanches de la « Bataille de San Romano » de Paolo Uccello , le vent de liberté qui agite la robe jaune de « La Liberté guidant le peuple » d’Eugène Delacroix… j’y ai lu les forces de la peinture d’Histoire.

PAPIERS D’ART accueille avec allégresse, deux « pastels » de l’artiste , qui touchent par la justesse et l’équilibre simple des couleurs, des lignes et des « vides ».

Les oeuvres de Destarac figurent dans les collections publiques et privées en France, aux États-Unis, en Norvège…

Une grande exposition récente à Paris :
2017 – Destarac – dans les galeries Hervé Courtaigne, Nicolas Deman et Olivier Nouvellet. Paris.

Et parution du livre :
Harry Kampianne -Michèle Destarac – Le Langage des couleurs – 2007/2017- édité par la galerie Hervé Courtaigne, 2017, Paris.