À l’occasion des SOLITAIRES, Parvine CURIE présente des gaufrages et des collages sur papier. On y trouve la même quête de la lumière que lorsqu’elle travaille le marbre, le bois ou le bronze.

« Ce que je recherche, c’est surtout la lumière intérieure. Quand j’ai un morceau de terre, j’aime le percer et voir la lumière apparaître à travers la masse. J’aime que la lumière arrive, s’arrête sur des volumes intérieurs et donne des reflets. Je n’aime pas la sculpture massive, compacte… Dans les cathédrales et les architectures sacrées, il y a toujours une lumière extraordinaire . »

Parvine CURIE ,

Sculptures & Thangkas, Centre d’art Campredon, Editions Maison de l’Europe, Angers et Maine et Loire, 2017 , p. 92.

Ses oeuvres sont exposées depuis 1960 dans les galeries et musées en France, en Espagne, en Italie, en Suisse, en Allemagne…
Elles figurent dans de nombreuses collections publiques et privées en France, en Suisse, en Allemagne, aux Pays-Bas…